En 2016, 98% du web était humain.

En 2025, l’IA écrit déjà la majorité : menace… ou opportunité ?

Le choc des chiffres

(et pourquoi paniquer… juste un peu)

En 2016, l’immense majorité du contenu en ligne était écrite par des humains.

Aujourd’hui, la bascule est réelle : plusieurs études récentes montrent que la part de contenu généré (au moins en partie) par l’IA dépasse la barre

des 50% pour les contenus nouvellement publiés.

Ahrefs, par exemple, a analysé 900 000 pages créées en avril 2025 :

74,2% contenaient une part d’IA (pure ou mixte).

De son côté, Graphite observe que le volume d’articles générés par IA

a dépassé celui des articles 100% humains dès novembre 2024.

À noter : il n’existe pas de « recensement mondial » fiable du web entier.

Les chiffres ci-dessus portent sur des échantillons représentatifs

(pages récentes, articles) et s’appuient sur des détecteurs d’IA

dont les limites sont admises par les auteurs eux-mêmes.

Mais la tendance est, elle, incontestable.

Pourquoi cette explosion de l’IA

dans le contenu ?

• Coût marginal ~0 : produire un premier jet devient quasi instantané.
• Outils partout : éditeurs, CRM, emails, réseaux… intègrent des boutons “générer”.
• Pression SEO/SMO : plus de surface de contenu, plus de formats, plus vite.

Faut-il craindre une “pollution”

des résultats et des feeds ?

Les plateformes réagissent.

Google a durci ses politiques contre la production à

grande échelle de contenu “peu utile”,

qu’il soit créé par humains ou par IA.

Objectif : nettoyer les SERP du contenu fabriqué en masse juste pour ranquer.

YouTube impose désormais la divulgation du “contenu altéré ou synthétique”

et a clarifié en 2025 ses règles de monétisation :

ce qui est visé, c’est l’inauthenticité (contenu répétitif, mass-produced),

pas l’usage de l’IA en tant qu’outil.

Pas d’interdiction générale des miniatures/Shorts générés par IA

tant qu’elles respectent les règles

(pas de tromperie, pas de contenu choquant, droits OK).

Meta (Facebook, Instagram) déploie des labels “Made with AI / AI info”

en s’appuyant sur les standards C2PA/Content Credentials.

TikTok a lancé un étiquetage automatique des contenus IA importés d’autres plateformes.

Bref : plus de transparence, moins de “deepfakes” et de spam.

Conclusion : la fenêtre du “publier beaucoup, vite et sans contrôle” se referme.

La qualité éditoriale, la pertinence et la conformité

deviennent le vrai différenciateur.

Ce que cela change pour vous

(et pourquoi c’est plutôt une bonne nouvelle)

Votre métier n’est pas d’écrire des articles toute la semaine ni de suivre chaque micro-changement d’algorithme.

En 2025, la bonne approche est IA + expertise client + process éditorial :

1. Recherche & angle orientés SEO/AEO
2. Premier jet IA rapide
3. Validation humaine (ton, exactitude, différenciation)
4. Publication & distribution automatisées
5. Mesure & itérations (mots-clés, CTR, conversions)

Fait correctement, vous accélérez x3 la production sans sacrifier la qualité

(au contraire, vous la standardisez).

Post2success :

votre agent IA “à la fois

plume et community manager”

Chez Web2success, on a encapsulé ce workflow dans Post2success, un agent IA qui travaille au contact du client et qui :

• Rédige des articles de blog SEO sur votre thématique, soumis à validation.
• Publie sur Webflow une fois validé.
• Déclenche via Make la diffusion sociale : un post personnalisé est généré automatiquement sur LinkedIn, Instagram et Facebook, avec le lien vers l’article.
• Produit aussi des posts natifs : carrousels, posts image, Reels (Insta/Facebook) et déclinaisons LinkedIn quand c’est pertinent.
• Respecte vos codes : ton de marque, offres, contraintes légales, CTA.
• Optimise en continu : titres, méta, maillage, snippets, visuels, et timing de publication.

L’idée n’est pas de “faire de l’IA pour l’IA”, mais de vous libérer du temps tout en augmentant la portée et la pertinence de vos contenus.

‍

‍